Eric Boulay
Arismore
Transcript
Éric Boulet, je suis le PDG et le fondateur d'Arismore et de Memority. Arismore, société de conseil en transformation digitale, Memority, éditeur de logiciels de sécurité en SaaS. J'ai vendu Arismore et Memority en 2017 à Accenture. Alors à l'époque, on faisait 35 millions de chiffres d'affaires, on était 250 personnes, un peu plus de 250. Et donc il y avait d'un côté Arismore, la société de service, et d'autre côté Memority qui était une startup logicielle. La première solution de logistique en identité en SaaS, c'était un petit groupe de R&D et une petite force de vente à l'époque sur un projet très innovant. Alors j'ai choisi de me faire accompagner par IPTP, parce que j'ai rapidement compris que c'était qu'IPTP réunissait les trois caractéristiques majeures. Compétence dans la vente, compétence sur les aspects stratégiques et la mise en œuvre des meilleurs business case face à chaque dossier et capacité à être accompagné par les partenaires seniors durant une période indéterminée. Tout ça a été parfaitement réuni chez IPTP, ça l'est toujours aujourd'hui. Donc pour moi le choix était très simple. Choisir le bon moment pour vendre est absolument clé. Et il faut vendre quand la société va bien. On a toujours l'impression que quand tout va bien, on a tout le temps pour vendre et à l'ailleurs il ne faut pas vendre, il faut continuer à développer la société. Il faut être à l'écoute du marché. Quand une occasion présente, c'était le cas avec Accenture, qui crée Accenture Security, c'est le bon moment. IPTP a toujours été là pour maintenir le momentum et puis égaliser un petit peu les humeurs. Ça c'est très important et le fait également que la société aille bien, finalement on n'a pas de pression et on a tout le temps d'attendre la meilleure offre, la bonne offre pour finaliser. Tout ça doit être un process agréable, ce qui a été en partie grâce à IPTP et également grâce au fait qu'Arismore allait bien. Quand on est à la tête de sa société, on est jeune, on ne se voit pas vieillir. Dans mon cas, il était clair qu'à 65 ans, je préférais avoir donné les reines à d'autres personnes et de vivre d'autres aventures. Ça permet évidemment de mettre sa famille à l'abri, d'aider ses amis, mais ça permet aussi de devenir un business angel et un entrepreneur, donc de vivre par procuration beaucoup d'autres projets. Et puis ça permet effectivement d'assouvir quelques plaisirs, des investissements plaisirs dans le vin, dans l'automobile, donc de faire des choses qu'on ne faisait pas auparavant. Je pense qu'il n'y avait aucun débat, je le referais avec IPTP parce que l'aventure a été belle, elle a été très bien menée, elle a été vraiment menée de façon très professionnelle. Et si la dataroume est parfaite, les données sont nickels et le budget se déroule de façon parfaite, on est en position de force pour négocier et IPTP l'a remarquablement bien fait. C'est un travail de l'ombre mais l'avocat est très important. D'ailleurs, je fais un lien entre l'avocat et les négociations des TNC de la LOI. Et là, IPTP est venu avec maître Philippe Didier qui a fait un travail absolument remarquable. Encore une fois, si c'était à refaire, les yeux fermés, j'y retourne.